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Caravane Tighmert

l'événement


   Néanmoins l'importance historique, culturelle et économique qui avait l'oasis de Tighmert auparavant, n'a pas à présent un reflet dans l'oasis. En 2015,  un groupe d'amis (Bouchra Boudali, Ahmed Dabah, Halima Bardid et Carlos Perez Marin) ont décidé de créer un festival pour les habitants avec plusieurs finalités. Tout d'abord il était nécessaire de renforcer l'estime de soi de la communauté, surtout après les inondations de 2014 qui ont provoqués des dégâts importants pendant les deux semaines d'isolement dû aux creux des deux rivières. Afin d'oublier ces souffrances, il fallait organiser des activités culturelles pour les gens de Tighmert mais aussi pour montrer les possibilités d'attirer l'attention des artistes en montrant les valeurs de l'oasis.
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   De toutes les manières, le festival n’allait pas partir du néant. On a mentionné l’existence du festival des esclaves, mais des associations locales travaillent depuis longtemps sur des projets sociaux internationaux avec des échanges très intéressants entre les jeunes de Tighmert et de la France ou l’Allemagne. Aussi les femmes de la coopérative Qafila Tighmert qui fabriquent des khaïmas et des tapis, réalisent des projets en partenariat avec des associations marocaines et européennes. En 2013 Marsad Drâa (partenaire du festival) a  programmé des ateliers autour de la construction en terre et de la vie oasienne, Warsha Sahara.

   Pour cette première occasion, l’artiste Rachid Ouhnni a mené des expériences avec un groupe d’enfants de l’oasis qui nous ont permis apprendre et comprendre le système d’arrosage, avec toutes ses implications spatiales, urbanistiques, sociales, économiques, environnementales...                                                  

les navigateurs du désert
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   Ou bien, la construction des maisons en terre à échelle réduite qui nous ont fait découvrir les contraintes fonctionnelles, techniques et sociales de l’habitat local.
les bâtisseurs du désert
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caravane tighmert 2015

   En mai 2015, après avoir parlé du besoin de faire un événement culturel, nous avons décidé d’organiser une série de concerts et d’ateliers pendant le mois de juillet. Or, le tout premier problème que nous devions confronter était l’argent, car tous les appels à projets de différentes institutions avaient déjà expiré. Face à cette problématique il nous restait que faire appel aux amis de l’oasis et d’ailleurs. Ainsi, des musiciens, des artistes, des biologistes et des historiens ont voulu venir et partager leurs expériences et savoirs pour cette première édition avec tous, enfants, jeunes et femmes de Tighmert.
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   Pour les concerts nous avons utilisé une maison d’un des organisateurs, et deux parcelles de l’oasis, où les musiciens se sont reproduits en version jam session (Hossni Boudali et NassRock), acoustique (Maâlem Abdelkébir Merchane) ou en concert électrique (NassRock) pendant toute la semaine.

   Les artistes visuels ont travaillé dans une maison en terre abandonnée et ses alentours. Arejdal, Beladel, Bouhchichi, Nadif, Ouhnni, Raïs et Saouli ont développé des recherches, des ateliers et ont produit cette exposition.  

   Un des objectifs du festival était la rencontre entre les artistes et la population locale, rencontre qui a été plus facile lors que les artistes menaient des ateliers liés à l’art. atelier 1    atelier 2
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   Mais aussi à l’environnement et à la vie nomade, grâce aux membres de l’Association des Amis de l’Environnement de Zagora (Adil Moumane et Dahmane Rabmoun) qui sont venus pour animer des ateliers et des conférence 1, conférence 2.

   Le bilan global du Festival Caravane de Tighmert 2015 à été très positif, bien si les premiers jours de concerts le public n’a pas été très nombreux, les gens de la palmeraie ont fini par se rendre massivement aux concerts au fur et à mesure qu’ils sont su de son existence, par contre les ateliers ont eu un grand succès entre les enfants et les femmes.

   Le budget total de l’édition 2015 a été de 20.000 Dh, financé complètement par des donateurs privés et grâce aussi à la générosité des artistes.

consequences du festival 2015

   Normalement les festivals se produisent seulement une fois par an et si jamais la population locale en profite, elle le fera que pendant l’événement. Depuis le début, nous nous sommes dits qu’il faut absolument penser d’abord aux enfants, aux femmes et aux jeunes de l’oasis, en programmant des activités pendant toute l’année.

   Par ailleurs, la finalité n’était pas de devenir la seule association qui organise des activités sinon créer une atmosphère et une inertie qui encourage les gens à profiter et à travailler sur les potentialités de l’oasis et de ses gens en tant qu’espace de création.
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   Ainsi, le premier festival a été un révulsive pour les jeunes, qui autour de la nouvelle association créée, organisent des activités pour les enfants, seuls ou en partenariat avec des associations de Guelmim. Ce réseau qui commence à se faire, basé sur la culture, sera très important et peut-être la meilleur réussite du festival.


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 Mais il y a eu plusieurs effets dérivés du festival.

CENTRE CULTUREL

   En juillet 2015 nous avons loué une maison traditionnelle en terre qui était abandonnée où les artistes plasticiens ont travaillé. Aujourd’hui cette maison est devenue non seulement le siège de l’Association des Amis du Festival Caravane de Tighmert, mais aussi un centre culturel où divers collectifs réalisent leurs activités.

musique

   Le groupe local NassRock répète maintenant dans les locaux de l’association “Les Amis du Festival Caravane de Tighmert” et la deuxième édition les encourage à améliorer leur performance. Au même temps, d’autres jeunes s’approchent aux locaux intéressés pour apprendre à faire de la musique.
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théâtre

   Après le festival, et grâce aux réseaux sociaux, une compagnie de théâtre berlinoise, Goettliche Samen, s’est mise en contact avec nous parce qu’ils étaient intéressés à travailler une pièce avec les jeunes de l’oasis et d’Allemagne. Il est vrai qu’ils avaient commencé à travailler avec une association de Guelmim, mais après avoir vu les activités menées par les jeunes pendant le festival ils ont décidé d’utiliser Tighmert comme base au Maroc.
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crédit photo: Goettliche Samen

art contemporain

   L’écho des travaux des plasticiens pendant le festival en 2015 a provoqué un grand intérêt et ils ont été très nombreux les artistes qui ont voulu venir pour la prochaine édition. Cela veut dire qu’il fallait faire un appel à candidatures pour donner la possibilité de participer à tout le monde.
​   Cependant, il y a ceux qui n’ont pas attendu et qui sont déjà venus pour leurs propres projets artistiques tel que Amine El Gotaibi et Mohamed El Mahdaoui.

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danse contemporaine

   La danseuse, chorégraphe et plasticienne Claudia Triozzi était à Casablanca dans le cadre d’une résidence artistique à l’Espace Darja (dirigé par Meryem Jazouli), mais puisque son prochain spectacle sera autour de l’habitat en terre, elle est venue accompagnée par Marsad Drâa (partenaire de notre festival) pour découvrir les modes de vie oasiens, une recherche qu’elle continuera pendant le festival en juillet et qui présentera en France en 2017.
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   Quelques mois plus tard c’était Meryem Jazouli qui s’est rendue à l’oasis afin de faire des recherches et des rencontres autour de la danse Guedra.
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design et artisanat

   Nous avons voulu développer l’artisanat local, ainsi les femmes de l’oasis ont travaillé sur le design et la fabrication de sacs à main en profitant de leurs savoir-faire sur les tentes nomades. Ces sacs seront vendus pendant le festival et ils deviendront une ligne d’accessoires dans l’avenir. Le festival veut montrer ainsi les capacités de la culture de devenir un moteur de développement culturel, social et économique.
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caravane tighmert 2016

   Pour la deuxième édition les habitants de l’oasis ont mis à notre disposition quatre maisons pour que les artistes puissent séjourner et travailler.
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   À part des invitations directes, nous avons lancé pour la première fois un appel à candidatures afin que des jeunes artistes puissent participer.
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   Les participants avaient trois possibilités, faire des ateliers avec les habitants de l’oasis, faire des recherches ou bien produire une pièce avec les matériaux qu’ils allaient trouver sur place. 

​   Cette fois-ci, les activités se sont multipliées dans toute l’oasis et pendant une semaine. Il est vrai qu’il y avait plus d’artistes, mais  aussi parce qu’il a eu des collaborations spontanées entre eux (le cas de Amar Al-bojrad, Mourad Belouadi et Laila Hida) et avec les habitants. Il faut dire que certains sont venus pour la deuxième ou troisième fois et pourtant il y avait déjà des liens entre eux et les jeunes de Tighmert. 
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   D’ailleurs, il y a eu aussi des jeunes de Guelmim qui sont venus pour participer aux ateliers, comme celui de Mourad Belouadi ou du danseur iraquien Amar Al-bojrad. 
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   Des ateliers qui sont fondamentaux pour plusieurs raisons. Ils sont un instrument pour établir des rapports entres les enfants, les jeunes, les femmes et les artistes. C’est un moyen de renforcer la créativité d’une population qui est démuni d’activités cultures et des formations artistiques (en dehors des traditions locales).
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   Or,il s’agit pas de faire venir des artistes comme si d’une ONG s’agissait si non de faire un festival avec les gens de l’oasis et pour eux. Au fait, nous proposons aux artistes de venir parce que nous pensons que ce type d’environnement (le désert) est une source de connaissance et d’expérimentation qui peut être très utile pour eux, c’est à dire, ils viennent pas pour aider, ils viennent pour apprendre.
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   Nous avons toujours voulu montrer la singularité de cet espace oasien, aussi à ses habitants, qui parfois ne sont pas conscients de ses potentialités. Pour cette raison nous avons cherché un lieu pour les concerts qui reflète l’identité de l’oasis et nous avons décidé de nous appuyer sur la façade d’une des deux casbahs de Tighmert (qui d’ailleurs est le musée de la Mémoire Nomade). On a évité pourtant une scène impersonnelle comme malheureusement on trouve souvent.
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partenaires

   En 2015 l’équipe du festival était composée par un groupe d’amis de Tighmert et de certains amateurs de l’oasis venus d’ailleurs. En 2016 la association Amis du Festival Caravane de Tighmert a été créée et elle a été le noyau de l’organisation, mais encore une fois, avec la participation des jeunes (dorénavant réunis en tant que Scouts de Tighmert et Asrir) et de Marsad Drâa. Par contre, l’appui institutionnel a été inexistant (sauf la commune d’Assir-Tighmert).
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caravane tighgmert 2017

   En 2017 nous avons eu à nouveau des artistes qui sont venus à Tighmert afin de développer des recherches. Il s'agit pas des résidences d'artistes, puisque pour l'instant nous ne pouvons pas les financer, par contre, on a fait l'accompagnement des artistes pendant leurs séjours.
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   En avril Meryem Jazouli est arrivée accompagnée par la chanteuse Malika Zarra et le dramaturge Younès Anzane qui dorénavant travaillent ensemble sur leur nouvelle création, "Folkah", basée sur la danse traditionnelle sahraoui Guedra. 
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   Pour mieux comprendre les chants et danses de la Guedra, nous avons organisé une rencontre avec Sallam Yamdah, qui avec son groupe Mnat Aichata, est devenue une référence dans la culture hassanie.
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   Pendant le mois de mai, c'était le tour de l'artiste visuelle hollandaise Heidi Vogels et de l'artist sonore suisse Gilles Aubry. 
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   Heidi voulait mieux comprendre le rapport entre le vide et le plein, entre le positif et le négatif, concernant les espaces verts (l'oasis) et les modes de vie de ses habitants, une recherche en parallèle à celle qu'elle mène depuis des années sur les Jardins de Fès.

   Gilles travaille sur sa thèse doctorale et il voulait approfondir sa recherche sur les chants des femmes, sur la Guedra et sur les enregistrement faits par Paul Bowles pendant les années 50 à Guelmim.

l'avenir de caravane tighmert

   Au fur et à mesure que nous accompagnions des artistes ou que nous organisions des événements, nous réfléchissions aussi sur l'avenir du festival (même sur la pertinence du mot "festival"), comment il devait se développer, qu'est-ce qu'il fallait changer ou bien garder.

   Depuis le début nous avions toujours une idée très claire des aspects que nous voulions garder absolument:

  • Il devait être un événement dont le premier bénéficier serait les habitants de l'oasis (et de ses environs), grâce aux ateliers, aux recherches partagées, aux rencontres...
  • Les artistes devaient venir pour faire des recherches, pour expérimenter et non pas forcement que pour produire une oeuvre ou une pièce. Or, ils devaient le faire à partir des cultures existantes dans l'oasis (et ses environs).
   Ces contraintes sont difficiles à associer avec des événement culturels "classiques" que nous avons l'habitude de trouver dans le pays. Donner la possibilité aux artistes de venir sans rien leur demander par rapport à la production artistique, n'est pas très normal, sauf dans quelques résidences d'artistes (comme Café Tissardmine). 
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   Pour l'instant nous avons arrivé à la conclusion que nous ne pouvons pas continuer à nous dénommer Festival Caravane Tighmert. Nous sommes devenus plutôt un: 

LABORATOIRE DE CULTURES CONTEMPORAINES OASIENNES

   Et nous allons garder cet esprit, malgré la manque de financement officiel, parce que nous croyons aux possibilités que le désert, et ses multiples cultures, peuvent offrir aux artistes contemporains (visuels et vivants) en tant que espace physique et mental de création.

   Pour nous, l'idéale serait de pouvoir organiser des résidences artistiques pendant l'année et faire une rencontre en juillet qui aurait trois propos:
  • montrer l'état d'avancement des recherches de ceux qui sont vénus aux résidences.
  • donner l'opportunité à des artistes (consacrés et jeunes) de découvrir pour la première fois l'oasis avant de venir en résidence. 
  • avoir un échange entre artistes et habitants, en favorisant les collaborations artistiques.
  Il serait aussi intéressant de faire un suivi des implications que tous ces artistes peuvent avoir sur les enfants et les jeunes de l'oasis afin de montrer aux autorités l'importance de la culture dans le développement humain, spécialement quand il s'agit d'un lieu éloigné et isolé comme l'oasis de Tighmert. Mais on aura plus de temps pour faire une évaluation dans ce sens.

   Maintenant il faudra se focaliser sur l'avenir le plus proche, la troisième édition de Caravane Tighmert, qui aura lieu du 10 au 16 juillet 2017.
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